Extrait de l’article Obligation de Conscience
…Les ancrages énergétiques de l’être humain dépendent non seulement de nos pensées, mais de nos actes et aussi, suivant les cas, de notre passé. Tout dépend de ce que nous choisissons comme mode d’ancrage. Ou plutôt quel mode de distorsion je mets en place, pour me nourrir énergétiquement de cette vie que je choisi de vivre. Car vivre ne passe pas par le contrôle de notre extérieur pour arranger notre bien être intérieur, mais c’est bien par la connaissance et la vigilance de nos perceptions focalisées sur notre intérieur, nos vibrations, et les interactions de celles-ci que nous allons être en accord avec notre futur potentiel (cf. l’impermanence de toutes choses, la théorie du dédoublement…).
Autrement dit, c’est par le développement de mes acuités, mes perceptions, mes vibrations, et donc par le regard de mon intérieur, que je vais connaître si telle ou telle situation est envisageable pour moi ou plutôt, est envisageable pour mes vibrations actuelles, dans cet instant.
Mais que sont ces ancrages énergétiques ?
Tout d’abord ne pas confondre ancrage et enracinement. Ils ne focalisent pas sur le même point.
– L’enracinement est la liaison intrinsèque qui nous lie avec la terre. Je suis l’arbre qui est enraciné dans la terre et par là même, qui me permet d’établir mes racines, ma présence dans l’instant, mes possibilités. L’enracinement est aussi cosmique, le feuillage de l’arbre. Je suis relié au cosmos, au divin, à mes vibrations, à ma famille d’âme, à mon groupe d’âme etc. Je me nourri aussi bien de la lumière que de la terre… je suis l’arbre.
– L’ancrage est le comment je vais percevoir le monde. Comment je vais absorber énergétiquement l’instant que je suis entrain d’expérimenter. Comment je vais définir mon regard sur le monde par rapport aux énergies que je distorsionne. Ceci ne passe pas encore par le mental mais défini ma réalité. Le comment je vais vivre l’instant. Ce dont je me nourri énergétiquement, ce que je mets en place pour pouvoir comprendre ma réalité. Les distorsions sont créées par les interprétations des expériences vécues. C’est ce qui va façonner la manière dont je vais aborder la vie. Tant que nous sommes dans l’interprétation de la vie, les ancrages vont se distorsionner.
Je suis l’arbre, mais je peux être un chêne dans certaines situations et un abricotier dans une autre situation. Le chêne et l’abricotier n’ont pas du tout la même vibration et encore moins les mêmes nourritures. Les sèves ne sont pas les mêmes ainsi que leur texture, leur densité, leur tension. Les bois ne sont pas non plus les mêmes, leurs fibres, leurs couleurs, leurs sons etc.
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